Témoignage de Pierre Biguinet.

14 février 2008

Chères Montbéliardiaises, chers Montbéliardiais,

A l’occasion des élections municipales, nombreux sont ceux qui indécis, peu confiant en la politique ou tout simplement mal informés, ne savent pas encore de quelle façon se positionner.

C’est la raison pour laquelle je souhaite, même si j’entends déjà les échos des injustes critiques partisanes résonner au lointain, vous apporter mon témoignage sur notre sénateur maire Louis SOUVET ainsi que sur certains de ses colistiers.

Je ne vous parlerai pas de leur programme : Ils en ont un, il est clair et ils l’expliquent très bien eux même.

Après m’être rapidement présenté, je me limiterai donc à décrire ma perception de la personnalité et du caractère de certains de ces hommes et femmes que je connais de façon personnelle.

Né à Montbéliard il y à 28 ans, petit-fils de maquisard du Lomont ayant lui aussi vu le jour dans la cité des princes, je suis ce que l’on appelle un trissu. Je suis aussi le fils aîné d’une des colistières de Louis SOUVET, l’actuelle deuxième adjointe Marie-Noëlle BIGUINET. C’est donc tout naturellement que je commencerai par vous parler de ma mère.

Née à Montbéliard le 27 décembre 1956, ma mère a toujours été passionnée par sa ville : De l’ancienne pâtisserie « bonamour » (actuel Model 25) dont elle se plait à rappeler qu’elle y fît ses premiers pas, jusqu’à son engagement politique au coté de Louis SOUVET, elle a en effet successivement été présidente d’une association de parents d’élèves, obtenu le diplôme de « guide conférencière » de notre ville, tout en continuant à exercer son métier d’assistante sociale….Et en continuant à s’occuper de ses trois enfants !

En tant qu’assistante sociale, ma mère a toujours pensé que c’est l’économie qui permet à la société, par le biais d’une gestion saine et équilibrée de faire un juste travail social : Aider durablement les plus démunis, les plus affectés, guérir et accompagner les malades, redonner la force aux victimes de toutes les dépendances de s’insérer ou se ré-insérer dans notre société. Ce sont en partie ces profondes convictions qui l’ont conduit à accepter pour la première fois en 2001 de faire campagne aux cotés de notre sénateur maire et de devenir ainsi son adjointe chargé des affaires sociales.

Louis SOUVET a mis sa vie au service des habitants du pays de Montbéliard. Maire depuis 43 ans (d’Exincourt, puis de Montbéliard toujours réélu depuis 1989), il est aussi un sénateur actif pour le Doubs sur le plan national. Mais au delà de sa remarquable action politique, je souhaite, au travers d’une anecdote simple mais révélatrice, vous parler de l’homme: En mai 2006, notre maison familiale était détruite par le feu. Aux cotés des pompiers, tenace, malgré les demandes répétées des hommes du feu de se reposer, Louis SOUVET, 75 ans, continuait, infatigable, de monter et descendre les marches de la grande échelle déployée par les pompiers afin d’extirper les débris, de sauver ce qui pouvait encore l’être de nos souvenirs d’enfance. Si l’on a pas ou peu parlé de cet acte, il en dit long, du moins à mes yeux, sur l’homme qui se présente à votre appréciation.

Venant, comme vous l’aurez compris, de ce que ma carte de réduction SNCF appelait une « famille nombreuse », je continuerai tout naturellement par Laurence PLUCHE. Laurence et ma mère se sont rencontrées dans le cadre de leurs études de guide conférencière. Très vite, s’établît entre elles une complicité qui devînt au fil du temps, une amitié. Je me souviens très bien de l’époque ou ma sœur, la benjamine de notre famille gardait les enfants de Laurence.

Devenu « jeune cadre dynamique » dans une de nos grandes entreprises françaises, je continuerai par un autre de ces jeunes : Christophe FROPPIER. Je connais Christophe depuis l’âge de 14 ans. Il en avait 19 à l’époque (en 1994) et il pratiquait « déjà » le tennis de table. A vrai dire, il en était mon moniteur. J’en ai le souvenir d’un moniteur non seulement aussi patient que passionné, mais également d’une personne intègre et pour qui le sport est un art de vivre.

Je ne mentionnerai pas les autres membres de la liste et je sais qu’ils ne m’en tiendront pas rigueur car je crois, comme le proverbe, que « qui se ressemble s’assemble ». Je ne les connais simplement pas suffisamment pour vous en parler avec mon cœur comme j’ai essayé de le faire pour ces 4 personnes. Je leur souhaite à tous la réussite et je vous invite donc à les soutenir.

Je vous remercie de m’avoir lu.

Pierre

Posté par cfroppier à 22:26 - Commentaires […] - Permalien [#]